Lundi 23 octobre
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— Pourquoi vous ne les avez pas empêché ? Pourquoi vous ne m'avez pas communiqué sur leurs plans ?Le même jour, pendant que Nanett écrivait la lettre, que, Prounella était assuré, on destinait
Pasko, elle a décidé de visiter une vieille femme soignant la colonne, quand il était l'enfant. Encore pendant la visite à l'Ouinsloou-hall la jeune fille allait lui demander absolument venir
chez la nurse Grej, qui dès le jour de son départ priait sans arrêt sur son retour réussi à la maison. Prounella voudrait dire la colonne que la vieille est très faible lui doit la visiter, sans
remettre la visite au lointain avenir. Elle espérait qu'il retiendra la promesse. Mais puisqu'elle n'avait pas de possibilité de parler avec lui de cela après la première visite à
l'Ouinsloou-hall, elle a décidé d'aller chez la nurse Grej elle-même. La nurse, certes, a appris déjà le retour de la comte et sans faute avec une grande émotion attend «le garçon», comme elle
appelait toujours le comte. Cette fois le chemin vers le cottage de la nurse a occupé plus de temps, que d'habitude, puisque Prounella a ordonné à Doousonou d'aller par la voie non courte, dans
le parc, et se servir du chemin vicinal. Puisque le comte les a trouvé aujourd'hui déjà avec Nanett dans le parc, elle ne voulait pas qu'il trouve comme leurs voisins sans façon. C'est pourquoi
les chevaux la transportaient selon le chemin vicinal poussiéreux, ils ne sont pas venus à petit dereven'kou, qui s'appelait Loouer-Stodberi, à la différence de Litl-Stodberi et Grejter-Stodberi.
Le village comprenait le cabaret, les églises, une petite boutique et une douzaine de cottages, dans qui les travailleurs de la propriété d'Ouinsloou vivaient. Dans les alentours du village il y
avait quelques maisons, les maîtres de qui étaient assurés un peu mieux, parmi eux un se détachait plus, maintenant couvert et délabré, entrant à la partie de veuve du domaine d'Ouinsloou.
Puisque deux derniers de la comtesse Ouinsloou sont morts avant les maris, cette maison n'était aucunement utilisée, et Lrounella pensait souvent que l'on peut le restaurer et donner à bail pour
que les hommes nouveaux raniment la société. «Telles idées n'intéresseront pas le comte, — elle a pensé avec amertume, — même s'il aura sur cela un argent». Elle a soupiré et a continué
mentalement :« S'il a vendu Van Dejka, il, absolument, ira à Londres et chassera là après le dot, comme son neveu ». Prounella était persuadée qu'il y aura beaucoup de femmes, qui seront
heureuses de rendre tout qu'a, pour mettre la couronne comtale au jour de la cérémonie inaugurale du parlement. Quand cela arrivera, le comte aura assez d'argent pour la restitution de
l'Ouinsloou-hall, mais on ne pourra pas déjà rendre les tableaux de Van Dejka. Prounella ainsi a réfléchi profondément que ne remarquait rien autour. Brusquement elle a découvert que la voiture
s'est arrêtée devant la maison la nurse Grej. Cette veine au bout du village il y a un peu de sur otchibe. La maison était choisie pour la nurse par le père du comte actuel, quand l'expédiait sur
le repos, parce que cette maison était plus vaste et le jardin à lui était plus, que chez autre. D'abord la nurse était fière beaucoup de la nouvelle maisonnette, bien que s'ennuie fortement de
l'Ouinsloou-hall. Quand Prounella la visitait, la maison rayonnait toujours par la propreté, et la nurse était tout à fait contente, bien que parfois et se sente par la solitaire. Avec les années
la nurse avait beaucoup de maladies, et il lui est devenu difficile de parvenir même à la boutique rurale. Prounella voyait que la nurse vit avec les souvenirs, en ranimant l'image du petit
Djerald Ouinsloou. Les récits infinis de «son garçon» de sa naissance à moment, quand elle avec les larmes le passait à l'école suivaient. En outre plus tôt elle ne devait pas acheter à elle-même
les produits et se soucier de la nourriture — elle avait le vivre et le couvert dans le hall, — et il lui était difficile de faire cela. Prounella venait à ce petit cottage presque chaque jour,
puisqu'elle connaissait que la nurse ne pourra pas ni préparer à elle-même la nourriture, ni descendre à la boutique. Maintenant elle est sortie de la voiture et est allée vers la maison par le
sentier exposé par les pierres. Le jardin devant la maison papillotait par les couleurs, mais Prounella a remarqué parmi eux les mauvaises herbes, et l'ortie. Elle a frappé à la porte et est
entrée, sans attendre la réponse. La jeune fille connaissait qu'à la nurse il est difficile de se lever de son fauteuil. Katrina kaif sex picture rencontres x . — Je bientôt de nouveau chez toi
viendrai, la nurse, — le comte a promis. — et si quelque chose te faut, envoie quelqu'un chez moi à l'Ouinsloou-hall dire sur cela.
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